Je l'apprends aujourd'hui !
Mon ami avait une moto, il l'avait attendue,espérée, elle était là : une honda neuve achetée en mars, je n'en connais pas le modèle ; je l'ai vue, bleue !
Une de ses connaissances, l'autre jour l'emprunte ; mon ami l'attend, le cherche et puis le rencontre ; "ta moto ? t'inquiètes, je l'ai prêtée à un copain !"; mais l'ami, pas content dit que c'est du vol et l'amène au commissariat.
Le policier dit : "Il a volé votre moto, elle est à tel endroit. Nous pouvons aller la chercher et vous la rendre, mais vous devez nous donner 45 500 Fcfa, pour notre déplacement."
L'ami ne les a pas, ne sait comment les avoir : 'le voleur ira en prison au titre du vol dont il se reconnaît coupable. Votre affaire alors sera close !" dit le commissaire ! Mon ami ne tient pas particulièrement à ce que son voleur soit puni, ce qu'il veut, c'est sa moto pour continuer d'aller à ses cours et c'est aussi avoir l'esprit tranquille à l'heure de se présenter au bac ! "Je comprends bien, dit le commissaire, trouvez cette somme et l'affaire sera entendue !"
Et voilà mon ami pleurant sans cesse : à quoi bon avoir peiné pour avoir cet engin, pourquoi la peine, la sueur s'il suffisait de voler pour bénéficier, contre un peu de prison, de tant de mois de salaires et sans rien faire ! Mais ici, le commissaire est le maître, le juge, à ce qui m'est dit !
Ayant cette somme, oserais-je la donner, récupérer mon bien, aller boire (pourquoi pas ?) un pot avec ce voleur et puis revenir au commissariat porter plainte pour racket et mise en demeure de corrompre ?
Une de ses connaissances, l'autre jour l'emprunte ; mon ami l'attend, le cherche et puis le rencontre ; "ta moto ? t'inquiètes, je l'ai prêtée à un copain !"; mais l'ami, pas content dit que c'est du vol et l'amène au commissariat.
Le policier dit : "Il a volé votre moto, elle est à tel endroit. Nous pouvons aller la chercher et vous la rendre, mais vous devez nous donner 45 500 Fcfa, pour notre déplacement."
L'ami ne les a pas, ne sait comment les avoir : 'le voleur ira en prison au titre du vol dont il se reconnaît coupable. Votre affaire alors sera close !" dit le commissaire ! Mon ami ne tient pas particulièrement à ce que son voleur soit puni, ce qu'il veut, c'est sa moto pour continuer d'aller à ses cours et c'est aussi avoir l'esprit tranquille à l'heure de se présenter au bac ! "Je comprends bien, dit le commissaire, trouvez cette somme et l'affaire sera entendue !"
Et voilà mon ami pleurant sans cesse : à quoi bon avoir peiné pour avoir cet engin, pourquoi la peine, la sueur s'il suffisait de voler pour bénéficier, contre un peu de prison, de tant de mois de salaires et sans rien faire ! Mais ici, le commissaire est le maître, le juge, à ce qui m'est dit !
Ayant cette somme, oserais-je la donner, récupérer mon bien, aller boire (pourquoi pas ?) un pot avec ce voleur et puis revenir au commissariat porter plainte pour racket et mise en demeure de corrompre ?