Il dort, il dort, cet été !
Ce kilomètre vers le cyber s'étire, s'étire, dilaté du bonheur d'avoir chaud ! (trop chaud ?)
Mais fondent en chemin les idées, même écrites car l'eau qui me coule dans les yeux fait fondre aussi l'encre sur ce papier.
Et puis aussi, le manque de réaction n'encourage guère à l'effort.
Mais reviendra le temps de lire et celui d'écrire car les tongs qui me mènent me font voir encore bien des choses, parfois piquantes comme un pré fauché de près, mais plaisantes si l'on veut les voir ainsi !