La pluie, et après,
Cet après-midi, je suis parti en direction d’une marchande d’oignons que j’avais aperçue ! A l’est, le ciel était sombre et des roulements se faisaient entendre ; à mi-parcours, c’est au-dessus de moi que le ciel est devenu sombre, non pas gris mais noir charbon ; un souffle frais accompagnant nuée et roulements, j’ai choisi de rentrer ! Quand le vent frais s’est fait humide, j’ai levé les yeux vers les nuages et, regardant dans les yeux celui qui semblait le chef, j’ai demandé 2 minutes de délai, pour arriver à temps et rentrer ma lessive. Ainsi fut fait, et les premières gouttes se sont mises à tomber ; mais le nuage avait disparu alors j’ai remercié la nuée, mais sans certitude d’être entendu à cause du bruit de la pluie devenue cataracte !
Une heure après la fin de la pluie, sous le ciel redevenu bleu, les fourmis s‘activaient à remettre leurs entrées en état et fonction !